ARZEL, extrait de l’interview Ouest France, novembre 2013

ARZEL ouest FranceDans son atelier de Dinard, Arzel découpe et soude des objets hors d’usage, des tôles tordues et rouillées, des objets récupérés. La « fée railleuse », comme elle aime à se nommer, les transforme en fleurs ou poissons géants, en drôles de chats, en anges gardiens ou veilleurs de vie. Elle fait aussi des détours par le mobilier pour imaginer des tables en panneaux de signalisation, des fauteuils étonnants. Une constante cependant : dans tout ce qu’elle assemble et raccommode, elle impulse de l’humour, de la poésie, des couleurs vives et pétantes. « Parce que c’est plus gai. Ces objets sont ancrés dans mon vécu émotionnel et fantasmatique. Il s’agit de parler des choses qui me tiennent à cœur, de l’importance de la vie et de la vigilance qu’il faut avoir pour protéger l’essentiel. Comme le disait Saint Exupéry on ne voit bien qu’avec le cœur.» Appartenant au courant artistique dit singulier*, Arzel ne tente pas de justifier son travail par des propos intellectuels ni à coller à des canons esthétiques…

Pour lire la suite de l’interview :

http://cestenbretagne.com/2013/11/06/arzel-fait-renaitre-la-vie-avec-son-poste-a-souder/

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